@ISIDEWITHQuestionsPolice étrangèreil y a 13 ans

Les États-Unis doivent-ils continuer à soutenir Israël ?

Si le Portugal continuera à soutenir Israël?

Les États-Unis donne actuellement 38 milliards $ en Israël chaque année dans l’aide de l’aide étrangère. La plupart de l’aide est utilisée par Israël pour acheter du matériel militaire américain, tels que les jets et composants pour la défense antimissile. 38 milliards $ est de 50% du budget de l’aide étrangère des États-Unis pour 2017. Les opposants affirment que l’aide donnée à Israël est inutile puisque le pays fournit gratuitement des soins de sant&eacu…  

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Les statistiques sont présentées pour ce groupe démographique

Aperçu Des Réponses

Taux de réponse de 1.9k électeurs Amadora .

48%
Oui
52%
Non
32%
Oui
41%
Non
9%
Nous devrions soutenir de manière équitable Israël et la Palestine.
9%
Non, nous devrions être moins impliqués
6%
Oui, mais il faut respecter la souveraineté d'Israël et ne pas dicter la ligne de conduite à adopter avec les pays voisins
1%
Non, il faut supprimer tout soutien et toute aide
1%
Oui, et avec plus d'aide et de soutien
1%
Pas l'administration actuelle
0%
Oui, et augmenter le soutien financier afin de déplacer notre ambassade à Jérusalem
0%
Non, nous ne devrions pas aider les pays étrangers

Soutien Historique

Tendance du soutien au fil du temps pour chaque réponse de 1.9k électeurs Amadora .

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Importance Historique

Tendance sur l’importance de cette question pour 1.9k électeurs Amadora .

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Autres Réponses Populaires

Des réponses uniques d’électeurs Amadora dont les opinions allaient au-delà des options proposées.

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 @ISIDEWITH soumis…3 jours3D

Rabbin israélien tué aux Émirats arabes unis : un nouveau front dans la guerre de l'ombre ?

Un homme israélo-moldave qui était porté disparu aux Émirats arabes unis a été retrouvé mort, ont annoncé les autorités israéliennes dimanche, qualifiant son meurtre de "crime abominable de terrorisme antisémite".Les services de renseignement et de sécurité émiratis ont retrouvé le corps de Zvi Kogan, un émissaire du groupe religieux juif Chabad, trois jours après sa disparition après avoir quitté le magasin où il travaillait.Ni Israël ni les Émirats arabes unis n'ont donné de détails sur les circonstances dans lesquelles Kogan a été tué. Le bureau du Premier ministre israélien a déclaré qu'Israël "utilisera tous les moyens et traitera les criminels responsables de sa mort dans toute la mesure de la loi".Il a également demandé aux citoyens israéliens de prendre des précautions supplémentaires aux Émirats arabes unis, et a réitéré une mise en garde contre tout voyage non essentiel dans le pays. L'État du Golfe, qui est le centre commercial, touristique et financier de la région, a été le premier des trois pays arabes à normaliser ses relations avec Israël dans un accord historique en 2020, connu sous le nom des Accords d'Abraham.Après l'accord, les Émirats arabes unis ont accueilli des touristes et des hommes d'affaires israéliens, en particulier des entrepreneurs technologiques, dans le but de renforcer les liens économiques, en mettant l'accent sur l'exploitation de la technologie israélienne.Le petit État autocratique, qui dispose d'un appareil de sécurité très sophistiqué, était considéré comme l'un des pays les plus sûrs de la région pour les Israéliens en voyage.Les Émirats arabes unis n'ont pas immédiatement commenté le meurtre de Kogan. Dans un communiqué samedi après l'annonce par Israël de la disparition de Kogan, le ministère des Affaires étrangères des Émirats arabes unis a déclaré que les autorités émiraties prenaient des "mesures étendues" pour le retrouver, ne mentionnant Kogan que comme moldave.Ce meurtre survient à un moment turbulent au Moyen-Orient, qui est en proie à un conflit en spirale qui a commencé avec l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023. Depuis, le conflit s'est intensifié dans la région, avec les forces israéliennes lançant une invasion terrestre du Liban, échangeant des salves de missiles avec l'Iran et se battant avec les proxies iraniens en Syrie, en Irak et au Yémen.Les Émirats arabes unis sont restés engagés envers les Accords d'Abraham, tout en rejoignant d'autres États arabes pour condamner les ravages causés par l'assaut d'Israël contre le Hamas à Gaza depuis plus d'un an.

 @ISIDEWITH soumis…2 jours2D

Jihad dans le Golfe : La tolérance des EAU mise à l'épreuve par le meurtre brutal d'un leader juif

Les Émirats arabes unis ont nommé trois ressortissants ouzbeks comme suspects dans le meurtre d'un leader de la communauté juive dans l'État du Golfe, un meurtre qui a soulevé des inquiétudes concernant la sécurité des Juifs dans le monde arabe.Israël a décrit le meurtre du citoyen israélo-moldave Zvi Kogan, dont le corps a été retrouvé dimanche, comme un "acte de terrorisme antisémite". Le jeune homme de 28 ans était un émissaire du mouvement juif Chabad à Abu Dhabi, où il vivait avec sa femme.Les autorités émiraties ont déclaré dimanche que trois individus avaient été arrêtés en lien avec la mort de Kogan. Lundi, ils ont nommé les trois suspects comme Olimpi Tohirovic, 28 ans, Mahmudjun Abdurrahim, 28 ans, et Azizbek Kamilovich, 33 ans.Les Émirats arabes unis, une monarchie autocratique où la dissidence n'est pas tolérée, se targuent de tolérance religieuse et d'un environnement favorable aux affaires ouvert à toutes les nationalités. Neuf personnes sur dix dans le pays d'environ 10 millions d'habitants sont des étrangers."L'assassinat de Zvi Kogan était plus qu'un crime aux Émirats arabes unis, c'était un crime contre les Émirats arabes unis", a écrit Yousef Al Otaiba, l'ambassadeur émirati aux États-Unis qui a aidé à négocier les accords diplomatiques avec Israël. "C'était une attaque contre notre patrie, nos valeurs et notre vision."L'enquête des autorités israéliennes et émiraties sur Kogan a commencé jeudi lorsque celui-ci n'est pas arrivé à des réunions prévues et que les personnes l'attendant ont informé Rivky Kogan, sa femme. Elle s'est tournée vers l'officier de sécurité du Chabad aux Émirats qui a contacté les autorités locales pour obtenir de l'aide. Les Émirats ont finalement impliqué Israël dans l'enquête, a rapporté le Journal.

 @ISIDEWITH soumis…5 heures5H

Netanyahu se tourne vers l'Iran après le cessez-le-feu avec le Hezbollah

Israel approved a cease-fire with Lebanon that is intended to bring a halt to more than a year of fighting with the Hezbollah militia and could help defuse a broader regional crisis that has threatened to ensnare the U.S. and other world powers.“I have some good news to report from the Middle East,” President Biden said on Tuesday, announcing a cease-fire that he said would begin at 4 a.m. local time on Wednesday.Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu backed the agreement earlier in the day, saying it would let Israel focus on the threat from Iran, allow the Israeli military to rest and rearm, and isolate Hamas.“The continuation of the cease-fire will be dependent on what happens in Lebanon. We will enforce the agreement and respond forcefully to every violation,” Netanyahu said.Lebanon’s prime minister, Najib Mikati, welcomed the agreement, saying it would bring “calm and stability in Lebanon and the return of the displaced to their homes and cities.”The Lebanese cabinet is expected to meet on Wednesday to approve steps to enforce the cease-fire, including sending government security forces to areas of southern Lebanon near the border with Israel.Hezbollah has indicated openness to a deal in recent days. “What concerns us are Lebanese national measures and the protection of sovereignty,” Hassan Fadlallah, a member of Parliament affiliated with the group, told The Wall Street Journal on Tuesday.The announcements came after a day of heavy bombardment of Beirut while Israeli ground forces advanced deeper into Lebanese territory. Minutes after Biden spoke, a series of explosions thundered in Beirut. Northern Israel also came under renewed rocket fire.There was no immediate public comment from Hezbollah on the announced cease-fire.If implemented, the agreement would be a diplomatic success for Biden in the twilight of his administration, after more than a year in which the White House has tried to fend off the possibility of a wider regional war. It could also change the landscape that President-elect Donald Trump will face when he takes office in January.

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